Title: Island of Emotion
Dimensions: 50 × 40 cm
Medium: Acrylic on Canvas
Year: 2023
"Island of Emotion" represents an exploration of Rodrigues Island's culture and history. Utilising a constrasting palette of colours, intricate textural elements, and compelling forms I have tried to convey its narrative. The volcanic landscapes that define Rodrigues are portrayed not merely as geological phenomena but as elements that have sculpted the islanders' identities and way of life.
Through the abstractionist approach, the artwork captures the interplay of colours that characterize a path that in old the days we use to take to go from one place to another before roads were built. This visual reminder serves as a footnote to the islanders' cultural diversity and their unified identity as 'Kreol.'
Jacques Desiré Wong So
Pour l’émancipation des Arts Plastiques.
Saturday, October 07, 2023
Exhibition Highlight: "Island of Emotion" at Kenwyn House, Victoria, Seychelles
Friday, June 10, 2022
39th Salon de mai
Ceci n'est pas la Clé (This is not the key), acrylic on canvas with scrap metal, 40 x 30.5 cm, 2022.
“Barbe Maïs a laissé ses popcorns à St François sans un sou ni indice”.
They said they found something, out of the ordinary, ancient and in the oblivion
They also said that it was the most famous, and it created great sensation
They gave the direction but never the destination
Maybe the spirit of the sea at Trou d‘Argent dispelled the dream in a swarm of krill
Or Maybe the dream was faked and full of scraps, since they knew the drill
And maybe they were already too late because they took the blue pill
The key that they lost in a field of gold is now history
the only things that remain are news that may no longer be crispy
We always need to hear both sides of the story
Friday, February 05, 2021
Saturday, April 04, 2020
In stock
Jacques Désiré Wong So – Espoir – 40 x 40 cm
Friday, May 12, 2017
National Pavilion of Mauritius at the 57th Venice Biennale
Jacques Desiré Wong So (Born in 1979 in Rodrigues, Mauritius) studied applied arts at Université Michel de Montaigne, (Bordeaux, France). Jacques Desiré uses Chinese ink and acrylics in his abstract paintings on canvas; researching and developing traditional painting techniques such as sfumato and lavis, which allows the tones and colours of his works to shade gradually into one another, producing softened outlines or hazy forms. The use of meditation and breathing techniques is an integral part of the process. In his own words what inspires him is a desire to help the world become united.
Source:Here
Saturday, March 11, 2017
CARTE BLANCHE A JACQUES DESIRE WONG SO
jeudi 16 févr. 2017 - samedi 11 mars 2017
Le peintre rodriguais Jacques Désiré Wong So vous invite en immersion dans un univers de taches d’encre abstraites et suggestives… Véritable appel à l’imaginaire, sa lecture personnelle de la paix résonnera différemment en chacun de nous, pour des interprétations qui en disent long sur nos personnalités…
L’exposition Master Peace XXL est l’aboutissement d’une résidence d’un mois à l’IFM de l’artiste.
"Master", le maitre, et "Peace", la paix.
Associés, ces mots forment "masterpiece", le chef d'œuvre.
Jacques Desiré Wong So nous présente sa lecture personnelle de la paix en format XXL, rappelant la grandeur que l’on doit à cette notion malmenée en ces temps mouvementés.
Pour cette carte blanche, l’artiste s’est inspiré du test de psycho diagnostic des taches d’encre, le « test de Rorschach ». Elaboré en 1921 par le psychiatre suisse Hermann Rorschach (1884 - 1922), ce test visait à évaluer les caractéristiques psychologiques d'un individu selon sa manière de réagir à des taches d'encre. En comparant la réponse des patients à celles d'individus normaux, le psychiatre découvre que la perception visuelle est influencée par la personnalité.
Synthèse de plusieurs années de recherche artistique, cette exposition se veut une immersion dans un univers d’encre et d’acrylique.
« Les tâches d'encre sont des choses fascinantes tout comme les nuages. Elles font rêver. Ainsi je ne définis pas je suggère. Je ne décris pas, je laisse des pistes. Je cherche à ce que l'observateur cherche sa propre paix, d'utiliser son imagination pour arriver à trouver ce moment de pure tranquillité. Mes œuvres ne sont que des suggestions, des pistes, des indices.
C'est la raison pour laquelle j'ai privilégié l'abstraction pour ne pas faire l'amalgame des signes. J’ai opté pour la forme pure, voire même l'absence des formes et laisser paraître un sfumato incomplet.
Le rôle social de cette expérience visuelle serait que nous parvenons enfin nous, tout le monde, utopique certes, nous tenir la main symboliquement et de regarder l'avenir avec optimisme et l'esprit critique dépourvu des réflexes conditionnés perturbateur dans notre quotidien.
En mentionnant les réflexes conditionnés je parle bien sur de notre Smartphone, du bus, de la voiture, du travail, des travaux ménagers, tous ces petits détails qui surchargent notre quotidien et qui nous ralentissent dans notre vrai mission: d'être pure énergie."
Artiste Rodriguais, Jacques Desiré Wong So explore dans son travail la relation entre l’humain et le naturel. A travers l’abstraction, il propose un langage graphique basé sur l’observation de son environnement immédiat. En dématérialisant et en déconstruisant la vision telle qu’elle est communément acceptée, il cherche des solutions personnelles et universelles, qu’il peint à l’acrylique. Jacques Desiré Wong So puise son inspiration chez William M.J. Turrner , Edouard Manet, Ansel Kiefer, et Philip Kelly (Maurice), pour ensuite s’en émanciper. Ce processus, en créant une certaine confusion entre la représentation et l’original, fait partie intégrante de sa démarche et lui permet d’approcher la notion d’universalité.
En procédant ainsi, l’artiste déforme l’invisible et remanie les certitudes établies. « L’inverse est aussi le réel.
D’autres imiteront mon travail. Ce qui réactive une universalité “parallèle”.
Source: Here
Sunday, February 12, 2017
Jacques Désiré Wong So nous propose : une exposition d’art abstrait et suggestif
PAR NUFAISAH MOSAHEB
Contact: nufaisah@defimedia.info
Ce peintre rodriguais nous invite à une immersion dans un univers de taches d’encre sur toile. Du jamais vu à Maurice ! Le public découvrira un style complètement différent, une face de l’art autant abstrait que suggestif.
« Mes œuvres ne sont que des suggestions, des pistes, des indices. »
Loin de l’ambiance folklorique que nous propose l’île Rodrigues en ce moment avec les élections régionales, Jacques Desiré Wong So nous emmène parcourir un côté de l’art que certains ne connaissent pas encore.
Médaillé d’argent lors du Award of Arts and Culture par la Fédération internationale du Tourisme.
Ne ratez donc pas son vernissage, qui aura lieu le 16 février à 18 heures, à la galerie de l’Institut français de Maurice, à Rose-Hill. Ses œuvres seront visibles du 17 février au 11 mars, du lundi au samedi de 10h00 à 16h00. L’entrée est gratuite à tout type de public.
à travers son exposition, Jacques Désiré Wong So nous présente sa lecture personnelle de la paix en format XXL, rappelant la grandeur que l’on doit à cette notion malmenée en ces temps mouvementés. Il nous explique pourquoi avoir appelé son exposition Master Peace. « Master signifie maître et Peace, la paix. Ces deux mots forment masterpiece, qui représente pour moi le chef d’œuvre », dit-il.
Inspiré du Test de Rorschach
Moment de partage et de rires.
Pour cette carte blanche, l’artiste s’est inspiré du test de psycho diagnostic des taches d’encre, le « test de Rorschach ». élaboré en 1921 par le psychiatre suisse Hermann Rorschach (1884 - 1922), ce test visait à évaluer les caractéristiques psychologiques d’un individu selon sa manière de réagir à des taches d’encre. En comparant la réponse des patients à celles d’individus normaux, le psychiatre découvre que la perception visuelle est influencée par la personnalité. Synthèse de plusieurs années de recherche artistique, cette exposition se veut une immersion dans un univers d’encre et d’acrylique.
« Les taches d’encre sont des choses fascinantes, tout comme les nuages. Elles font rêver. Ainsi, je ne définis pas, je suggère. Je ne décris pas, je laisse des pistes. Je cherche à ce que l’observateur cherche sa propre paix, qu’il utilise son imagination pour arriver à trouver ce moment de pure tranquillité. Mes œuvres ne sont que des suggestions, des pistes, des indices », dit-il.
C’est la raison pour laquelle l’artiste a privilégié l’abstraction. C’est de ne pas faire l’amalgame avec ses signes. « J’ai opté pour la forme pure, voire l’absence de formes, et laisser paraître un sfumato incomplet. Le rôle social de cette expérience visuelle serait que nous parvenons enfin, tout le monde, une utopie certes, à nous tenir la main symboliquement et regarder l’avenir avec optimisme et l’esprit critique dépourvu des réflexes conditionnés perturbateurs de notre quotidien », espère-t-il.
En mentionnant les réflexes conditionnés, Jacques Désiré parle, bien sûr, du Smartphone, du bus, de la voiture, du travail, des travaux ménagers... Bref, tous ces petits détails qui surchargent notre quotidien et qui nous ralentissent dans notre vraie mission : « être pure énergie ».
L’artiste en quelques mots.
Né en 1979 à Rodrigues, Jacques Désiré Wong So explore la relation entre l’humain et le naturel. à travers l’abstraction, il propose un langage graphique basé sur l’observation de son environnement immédiat. En dématérialisant et en déconstruisant la vision telle qu’elle est communément acceptée, il cherche des solutions personnelles et universelles, qu’il peint à l’acrylique. Jacques Desiré Wong So puise son inspiration chez William M.J. Turner, édouard Manet, Ansel Kiefer et le regretté Philip Kelly (Maurice) pour ensuite s’en émanciper.
Ce processus, en créant une certaine confusion entre la représentation et l’original, fait partie intégrante de sa démarche et lui permet d’approcher la notion d’universalité. En procédant ainsi, l’artiste déforme l’invisible et remanie les certitudes établies. « L’inverse est aussi le réel. D’autres imiteront mon travail. Ce qui réactive une universalité “parallèle” » dit-il.
Source: Ici
Tuesday, February 07, 2017
Friday, February 03, 2017
Sunday, January 29, 2017
EXPOSITION : Jacques Désiré Wong So, un récit ouvert à l'infini
Faut-il y voir une sorte d'évitement du tracé pictural présent dans ses anciennes marines ? Son processus créatif a néanmoins connu une nouvelle étape pour son premier solo à Maurice. Jacques Désiré Wong So a commencé à peindre véritablement en 2005 et a exposé pour la première fois à Rodrigues, sa terre natale en 2007.
Comme un écho distant, sa nouvelle série se caractérise par la persistance des images liées à la mer et la terre. "Le paysage se construit avec le temps, l'érosion…", nous dit Jacques Désiré. Son intérieur de création respire en bleu. Les travaux à l'encre de l'artiste explorent librement tous les bleus, ceux de l'âme aussi, et créent de secrètes plaines, grandes ou petites. Son geste est un élan du corps. Il vient déposer sur la toile de sereines bleuités. Peu de couleurs pour cet artiste qui travaille la matière dans ses acryliques avec une ascèse chromatique. Les couleurs s`étalent avec retenue : bleus d'outremer transparents, gris ombrés, blancs.
Jacques Désiré Wong So est venu lentement à l'abstraction, diminuant les traits, les formes pour aller vers l'essentiel, dans une voie abstraite et mystique. Il n'a qu'un but : l'union de l'homme et de la nature. Des élans libres de terre, plein ciel, plein regard en pleine mer. Wong So sublime les affres du temps.
Il y a beaucoup à découvrir dans les atmosphères sombres dans lesquelles cohabitant le jour et la nuit. L'artiste essaie de faire venir de l'intérieur la matière. Une simple toile, des taches d'encre et n
Les oeuvres de Jacques Désiré Wong So seront visibles à la galerie de l'IFM du 17 février au 21 mars 2017.
POINT DE VUE : Un essentiel mis à nu
Jacques Désiré Wong So est né à Rodrigues. Il a poursuivi des études en arts appliqués en France en 2000. Il est plus un peintre instinctif qu'un artiste qui prémédite les choses. Pas d'excès, mais une extrême retenue chez cet insulaire, dont la création artistique, est un récit ouvert qui épouse l'étendue. On est dans la suggestion, l'en deçà, l'en dedans. Sans origine ni centre, sa peinture est extensible à l'infini. L'exposition pourrait soumettre le public à une épreuve visuelle et temporelle où les images finissent par s'imposer durablement.
Article paru dans Week-End | 29 January, 2017 - 11:00
http://www.lemauricien.com/article/exposition-jacques-desire-wong-so-recit-ouvert-linfini
Thursday, January 26, 2017
JACQUES DÉSIRÉ WONG SO : À l’encre de ses pinceaux
Une tache d’encre sur le visage, de l’acrylique sur son t-shirt, un pinceau dégoulinant à la main. C’est ainsi que Jacques Désiré Wong So nous accueille dans sa salle de travail à l’IFM. Des tableaux par terre, quelques-uns appuyés contre le mur et un autre posé sur la table de travail. Ce qui captive l’attention chez le peintre, c’est sa jovialité communicative. C’est avec un sourire permanent qu’il nous fait découvrir l’univers dans lequel il compte plonger les visiteurs de son exposition, intitulée Masterpeace XXL.
Avec cette première exposition en solo à Maurice, l’artiste rodriguais aborde une nouvelle facette de son art. Tous les tableaux sont peints avec de l’encre et de l’acrylique de façon abstraite. Chaque tableau sera constitué d’une tache, qui sera différente à chaque fois. “Je suis un peu comme Kung-Fu Panda quand il réussit à canaliser son énergie. C’est un cheminement personnel. Avant, je faisais beaucoup de figuratif, mais j’ai trouvé que l’abstrait est ce qui me caractérisait vraiment. J’ai réalisé que c’est ce qui me définit le plus”, nous confie-t-il.
Paix intérieure.
Si le titre de l’exposition comprend le sigle XXL, c’est en raison de la taille des toiles. La plus grande mesure 2m10 par 1m80. En concevant cette exposition, Jacques Désiré Wong So avait un record en tête, celui de la plus grande tache d’encre au monde. Mais en surfant sur le web, il a découvert que ses tableaux n’allaient pas battre ce record. Il se consolera avec celui de la plus grande tache d’encre de Maurice. Masterpeace XXL se déclinera en 13 tableaux grand format, ainsi que quelques œuvres sur papier.
Jacques Désiré Wong So est à la recherche de sa paix intérieure. Qu’il voudrait retrouver chez les visiteurs. “Je souhaite que les gens trouvent la paix en regardant les tableaux. Le but est qu’ils découvrent les tableaux sans trop se laisser aller à la réflexion. Il faut que ce soit comme un moment de relaxation, avec une bonne tasse de café à la main.”
Quand il peint, Jacques Désiré Wong So essaye de faire le vide dans sa tête et de ne laisser aucune image s’imprimer dans son esprit. “Je conçois cette exposition de manière spontanée. Quand je me penche sur un tableau, j’essaye de ne penser à rien, ce qui est très difficile. Avec mon pinceau, je mets un peu d’encre sur la toile, et c’est la gravité qui détermine l’œuvre. L’encre me guide.”
Saturday, January 21, 2017
Jacques Désire Wong So : Paix intérieure artistique
L’artiste contemporain rodriguais nous proposera une exposition à l’Institut français de Maurice le 17 février. En résidence sur place, il nous ouvre les portes de son univers.
L’artiste virevolte, esquisse un coup de pinceau, se concentre. Et sa main parle. Tout est une question de paix intérieure. Et c’est sous le thème Master Peace XXL que Jacques Désiré Wong So, un Rodriguais de 37 ans, vous invite à son exposition solo, du 17 février au 11 mars, à l’Institut français de Maurice (IFM). Une expo qui suivra sa résidence artistique qui a débuté la semaine dernière (dans le cadre des expos Carte Blanche de l’IFM), et qui n’est pas la première qu’il tient. Il l’a déjà fait lors des 7es Jeux de la Francophonie, en France, en 2013 et en collectif, avec Art in the forest, en 2011. Rencontre entre deux coups de pinceau.
«J’aime le dessin depuis que je suis petit. J’enregistrais le dessin animé Le Roi Léo et en le visionnant, je faisais des arrêts sur image et dessinais ce que je voyais.» L’artiste nous raconte la suite avec enthousiasme : ses années collège où il se découvre une passion pour la sculpture et la peinture, ses années d’études supérieures, notamment dans les arts numériques, ses années d’enseignant au Rodrigues College («les jeunes Rodriguais sont de nature curieuse», dit-il) où il partage sa passion avec les jeunes. «J’ai toujours aimé l’échange, le partage, ça vous grandit en tant qu’artiste.» Lors de sa résidence, il a rencontré les élèves qui sont en quatrième année d’art au Mahatma Gandhi Institute, mercredi dernier, et le 30 janvier, ce sera au tour de ceux du Lycée des Mascareignes.
Ensuite, place à l’exposition, un nouveau challenge pour le gars de La Ferme, au CV déjà bien rempli, qui s’inspire notamment des tests psycho de Rosasch, avec des taches d’encre. Il nous explique le pourquoi du thème Master Peace XXL : «Ce sont plus des recherches artistiques sur la paix intérieure, sur un état d’esprit qui se rapproche de la sérénité. Je ne m’exprime pas sur la paix dans le monde, qui est une tout autre équation.» La paix intérieure, il la ressent aussi quand il s’adonne à son autre passion : la pêche. «On est sur la mer, sur l’océan, c’est paisible. J’y trouve une grande forme de sérénité. Et ça inspire.»
On quitte l’artiste dans ses œuvres, toujours aussi sursautant, toujours plongé dans son encre de Chine. Trois tableaux sont déjà prêts. Il dit qu’il les nommera après. Entre-temps, avec son air pensif, Jacques Désiré Wong So songe au futur : «J’ai déjà des idées, mais tout est une question de moyens, car monter une expo coûte énormément.»
Wednesday, January 18, 2017
Master Peace XXL : Jacques Desiré Wong So fait œuvre de paix
L’IFM accueillera sa première exposition de l’année intitulée Master Peace XXL, de l’artiste rodriguais Jacques Desiré Wong So, au mois de février. Le vernissage se tiendra le jeudi 16 février à 18 heures à la Galerie de l’institut.
À travers cette exposition, l’artiste présente sa lecture personnelle de la paix en format XXL, rappelant la grandeur que l’on doit à cette notion malmenée en ces temps mouvementés. Synthèse de plusieurs années de recherche artistique, cette exposition se veut une immersion dans un univers d’encre et d’acrylique.
«Les taches d’encre sont des choses fascinantes tout comme les nuages. Elles font rêver. Ainsi, je ne définis pas, je suggère. Je ne décris pas, je laisse des pistes. Je cherche à ce que l’observateur cherche sa propre paix», souligne Jacques Desiré Wong So. L’artiste explique encore qu’il a privilégié l’abstraction dans ses œuvres pour ne pas faire l’amalgame des signes. Il a donc opté pour la forme pure, voire même l’absence de formes pour laisser paraître un sfumato incomplet.
Jacques Désiré Wong So est né en 1979 à Rodrigues et il explore dans son travail la relation entre l’humain et le naturel. Par le biais de l’abstraction, il propose un langage graphique basé sur l’observation de son environnement immédiat. En dématérialisant et en déconstruisant la vision telle qu’elle est communément acceptée, il cherche des solutions personnelles et universelles, qu’il peint à l’acrylique.
L’artiste puise son inspiration chez William M. J. Turner, Edouard Manet, Ansel Kiefer ou encore Philip Kelly pour ensuite s’en émanciper. Ce processus, en créant une certaine confusion entre la représentation et l’original, fait partie intégrante de sa démarche et lui permet d’approcher la notion d’universalité. En procédant ainsi, l’artiste déforme l’invisible et remanie les certitudes établies.
Friday, December 02, 2016
The Awakening
This is a constant in my process which seeks to redefine itself for each solution encountered. By materializing and deconstructing the vision as it is commonly accepted I seek personal and universal solutions while doing acrylic paintings. As it is in doing that I have more ideas.
Thus work are constantly within abstraction and figuration as they need each other to exist in my process. Influenced by William M.J. Turrner , Edouard Manet, Ansel Kiefer, and Philip Kelly (Mauritius) proposed work are of a unique flavour and at the same time look alike. This has set confusion to other artists who have thought I have imitated their work. This confusion is a particular fragment of my process whereby I confuse the graphic with the memories intentionally to approach the notion of universality. In so doing, I deform the unseen and reformulate established certainties. The reverse is also true. Other artists immitate my results. Which reacts a parralel universality.
During a workshop I heard from an artist that to study at university level is not imperative but, “a hell of a shortcut”. With that in mind I travel to Bordeaux, 2001, for a “maitrise en Arts Appliques”. Later with transmission in mind I returned to Rodrigues, in 2005, to share my knowledge. This is where my artistic journey started. What was first an anthropic will to share knowledge became a way of living.
This is where we meet at a cross road here.
Friday, April 01, 2016
The Edge of the World
Thursday, March 19, 2015
10 Years of arts in Rodrigues
Saturday, February 23, 2013
7eme Jeux De la Francophonie à Nice
http://jeux.francophonie.org/
Friday, February 22, 2013
Identité minérale - Mémoires résiduelles, de la spiritualité dans l'art et la peinture, hommage à Kandinsky.
Friday, February 15, 2013
Exposition des œuvres de Jacques Désiré Wong So au DECOCULTURE
L’association sans but
lucratif
DEVELOPPEMENT ET ECOLOGIE PAR LA
CULTURE
DECOCULTURE
Belgique-Rodrigues
a le plaisir de vous inviter au
vernissage
de l’exposition des œuvres de Jacques Désiré Wong So, sous le
thème :
Identité minérale - Mémoires résiduelles, de la spiritualité dans
l'art et la peinture, hommage à Kandinsky
There is no must in art because art is free.
Wassily
Kandinsky
le Samedi 16 février 2013 à 10 heures 30
Conference debat :
"La place de l'art dans le developpement de Rodrigues" Le vendredi 1er mars 2013 a15 heures 30 au « Chercheur d’or » – DECOCULTURE, à Baie-Lascars L'association DECOCULTURE vise à l’intégration des concepts de développement, d’écologie et de culture. Elle a pour but la promotion, l’étude, la réalisation, l’appui ou la coopération à des programmes ou projets de développement à forte intensité culturelle et/ou écologique. Les locaux du Chercheur d’or –bibliothèque, salle de conférence et d’exposition- ont pour vocation d’accueillir artistes, scientifiques, professionnels, enseignants,…de Rodrigues et d’ailleurs, souhaitant partager et échanger leurs connaissances, leurs recherches, leurs créations, dans un esprit de liberté de pensée et de création.
Le siège social de DECOCULTURE est situé à Bruxelles, en
Belgique.
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Saturday, February 02, 2013
Monday, December 10, 2012
Exposition de peinture au John's Resto Pub
Friday, September 21, 2012
Identité minérale-mémoire résiduelle
Expo bus
Cette exposition itinérante a permi aux artistes de Rodrigues de déconsidérer le lieu d‘exposition.
Monday, September 10, 2012
Sunday, August 05, 2012
Monday, February 20, 2012
Salon d'été 2012
Etel
"Six heures six du matin et six seconde
Dehors il y a qu'un chemin
le toite de ma maison me rassure
car les murs sont construit en dur
les arbres verts et gris bougent, menacent,
dans un ciel gris blanc et fugasse,
Au loin j'aperçois un soleil rouge orangé
qui se lève, révelant les choses endommagé
On a regagner un peut de paix
mais il n'y a toujour pas d'électricité
Etel est parti
Rodrigues est a l'abri"
Sunday, July 17, 2011
Art in the Forest
Art in the Forest, île Maurice, 2011. Pour plus de détails allez a l'adresse suivante: Art in the forest
Sunday, June 05, 2011
35 ans de l'Hôtel La Pirogue
50 X70 cm
Acrylique
50 X70 cm
Friday, June 03, 2011
En attendant Godot-Decors de théatre
Préparation de la toile de fond.
Installation du décors à l'Institut français de Maurice.
Decors de théatre, En attedant Godot, peinture industriel sur toile, 4.5 X 10 m.
Décor et dessin de la toile de Jacques Désiré Wong So
"EN ATTENDANT GODOT" de Samuel Beckett joué à Maurice, en créole !
Le samedi 4 juin 2011,à l'Institut français de Maurice.
"Nous naissons tous fous. Quelques uns le demeurent".
Écrite en 1949 au sortir de la seconde guerre mondiale, "En attendant Godot" est probablement l'œuvre la plus célèbre du dramaturge irlandais Samuel Beckett. Elle est aussi sa première pièce écrite directement en français. Samuel Beckett consacre la suite de sa carrière à des textes courts, à la traduction de ses textes et à la mise en scène de ses pièces. S'il écrit en français, c'est pour limiter l'usage de la langue. Son oeuvre, austère comme un monologue intérieur, exprime l'impossibilité de vivre en sachant la finitude de l'existence. Farce métaphysique, "En attendant Godot' tend vers le non-sens de l'attente d'une quelconque révélation. Samuel Beckett a reçu le prix Nobel de littérature en 1969.
Traduction en créole mauricien : Shenaz Patel
Mise en scène : Jean-Pierre Soussigne
Jean-Pierre Soussigne, auteur et metteur en scène, réside à Rodrigues depuis mai 2004. Après des créations en France, à la Maison de la Culture de Reims et de La Rochelle, au Théâtre d'Orsay, à la Rotonde des abonnés de l'Opéra et au Théâtre le Palace à Paris ; puis à l'Institut du Théâtre à Barcelone en Espagne, et au Théâtre Antonin Artaud à San Francisco, "En attendant Godot" est la seizième mise en scène pour le théâtre de Jean-Pierre Soussigne.
Genèse du projet :
En 2005-6, Jean-Pierre Soussigne écrit la pièce de théâtre "Histoire d'une cathédrale"(donc j'entreprise le decor aussi). Présentée en créole et en français sur le parvis de la cathédrale Saint-Gabriel, "la pièce sera ensuite jouée sur le parvis de la cathédrale Saint-Louis à Port Louis, à l'occasion du Festival International Créole en décembre 2009.
À la fin des représentations, l'Ambassadeur de France et le Conseiller culturel commandent à Jean-Pierre Soussigne et à sa Compagnie la pièce de Samuel Beckett "En attendant Godot " en créole mauricien. La traduction du texte de Beckett est confiée à Shenaz Patel qui se réjouit d'ajouter cette pièce mondialement connue au corpus littéraire créole.
Thursday, March 03, 2011
Sunday, May 09, 2010
Salon d'été 2010
Wednesday, November 12, 2008
Triennale d’Art Contemporain / Art Visuel,à l’île Maurice novembre 2008
Monday, September 22, 2008
Identité par Jean Paul AGATHE
L’art de Jean Paul est en réelle progression auprès de sa première exposition solo datant de 2005. On observe une maturité pour les sujets choisis et un sens aigu pour la poésie, en occurrence pour le slam ; qui aurait pu imaginer faire un slam en guise de discours pour le vernissage ? Jean Paul l’a fait !
D’une palette sombre et inquiétante contrastant sur des couleurs vivent il nous introduit, ici, dans un jeu de mots (pensait t-il aux maux de la société local ?) et de représentations en peinture.
Ces associations de mots qu’on qualifiera plutôt de poèmes illustres les tableaux et vis versa. C’est une occasion de s’approprier de la vision de l’artiste pour découvrir son intimité et ses aspirations. On y découvre évidemment sa curiosité pour les choses de la vie locale typiquement Rodriguaise. L’exposition est divisée en deux parties : coucher de soleil et le regard des autres.
Jean Paul n’est pas un autodidacte. Il ne se déclare pas non plus peintre naïf pour attiser la pitié de la critique si critique il y en a. il est véritablement un artiste peintre plasticien en adéquation avec son temps car les thèmes choisis parle de Rodrigues et la conjoncture actuel. Les titres nous parlent : Bonne prise ; le moulin ; a l’aube ; la bêche ; sous les filaos ; Sega tambour ; la cabane du berger ; « dibois sec ». Mais Jean Paul parle aussi d’âme humaine : confusion ; sensualité ; être ou ne pas être ; bredouille ! Mais bon ! ; « baï looké » ; la soumission ; hypocrisie ou encore solitude.
Seul point noir, si on peut dire qu’il y en a un, c’est l’impression de ne pas avoir pu terminer certaines œuvres dont la trace laisser par les pinceaux reste encore légère. Mais pour un poète comme lui n’avons-nous pas la un chantier laisser volontairement inachevé pour que les spectateurs puissent avoir le choix de finir l’œuvre ?
En tout cas avec ses acryliques sur châssis on ressent l’aisance de l’artiste à déployer son « spleen » créatrice en donnant vie a ses personnages et paysages.
Jacques Désiré WONG SO
Friday, May 09, 2008
MASA AWARD NIGHT
Article publié le Mercredi 7 mai 2008 dans le journal L'Express Rodrigues.
Une pluie de récompenses - Une première édition très réussie.
La première édition du Masa Award Night qui s’est déroulée dans le cadre enchanteur de l’hôtel Mourouk samedi dernier a connu un franc succès. Pour cette première édition 17 récompenses ont été décernées au cours de la soirée.
Le prix du Meilleur Auteur a été attribué à Bernardin Moutien. Doyal Edouard s’est octroyé le titre du Meilleur Compositeur. Le titre du Meilleur Espoir de la chanson rodriguaise est attribué à Rex Léopold. C’est Vallen Pierre-Louis qui a reçu le titre du Meilleur Editeur. Julie Collet a été récompensée pour sa contribution à la promotion du séga tambour. Le prix du conteur est allé à Rosange André. L’award pour le développement de la musique à Rodrigues a été attribué à Macdonald Farla.
Trois prix à titre posthume ont été décernés à Serge Roussety, Cindy Augustin et Pascal Salon. Tino Samoisy est sacré Meilleur Ségatier. Roy Spéville a été décoré pour sa contribution pour le développement de la musique dans l’hôtellerie.
L’artiste David Félicité a reçu un prix pour le promotion de la peinture rodriguaise. Le doyen de l’accordéon, Ton Douc, a été décoré. Jacques Edouard a été décoré pour sa contribution dans le domaine littéraire.
Le prix spécial du jury a été accordé à Jana Collet. Ben Gontran a été décoré pour sa contribution au folklore de l’île. Marlin Augustin a été nommé ambassadeur de la musique traditionnelle de Rodrigues. Le prix de l’Excellence a été accordé à Marie-Lourdes L’Eveillé.
Joyce JHABEEMISUR
Néanmoins c’est une initiative louable car la valorisation des artistes locaux en ce moment est assez maigre.